Le Billard – Un Jeu De Queues Et De Boules

Valérie et moi, nous nous sommes connus au lycée. On s’est perdu de vue pendant les années d’université. C’est elle qui m’a retrouvé sur un réseau social. Quand je l’ai revue, j’ai eu un choc. La laideronne maigrichonne s’était muée en une superbe jeune femme. L’affreuse chenille était devenue un splendide papillon. En plus, j’étais sidéré qu’une telle beauté s’intéresse à moi.

Nous nous sommes installés dans une relation plaisante, je n’osais pas me déclarer, par peur d’un refus, et c’est elle qui a fait le premier pas. Elle m’a parlé du souvenir qu’elle avait, d’un garçon qui était gentil avec elle, quand elle n’était qu’une sauvageonne. Tous les autres la rejetaient, se moquaient d’elle, elle n’avait eu qu’un seul ami, MOI.

Maintenant, c’est elle qui méprisait ceux qui l’avaient brimée. Et j’étais son seul ami. À ce moment-là, notre relation a évolué rapidement, on s’est mariés l’année suivante, et nous venons d’acheter un petit pavillon en banlieue, après 4 ans de vie commune. Bien sûr, tous mes copains m’ont prévenus, cette fille est beaucoup trop jolie pour toi, ne fais pas cette connerie, tu vas souffrir, elle va t’en faire baver …

Nous venions d'emménager dans notre petite maison, deux chambres à l'étage avec la salle de bain et un dressing, une grande pièce à vivre en bas avec un coin cuisine, et un bureau. Valérie m’a dit que cela pouvait être ma pièce, pour l’aménager comme je voulais.

J’adore le billard américain. J’en ai trouvé un d’occasion, et cette pièce est devenue une salle de billard, où je peux jouer avec mes potes quand ils viennent à la maison. En plus du billard, j’ai mis dans cette pièce un petit bar avec un frigo pour ranger les bières.

Valérie a un fort caractère, un peu dominante, qui s’accorde bien avec mon côté nonchalant et soumis. J’étais heureux qu’elle accepte de me laisser cette pièce pour recevoir mes potes. J’avais beaucoup d'amis, et bientôt ils appelaient tous pour jouer au billard.

Valérie ne jouait pas, alors nous étions entre hommes.

Valérie est très belle, grande, avec la peau très claire, et elle s’habille sexy, parce qu’au travail les «mecs c’est des chiens, il faut les faire baver si tu veux obtenir quelque chose». Un matin, nous partions travailler, Valérie était en avance, quand je suis sorti la rejoindre, elle discutait avec un grand black. Lorsque je me suis approché, ils se sont tournés vers moi. L'homme s'est présenté, Cédric, nouveau voisin.

Il était proche de la quarantaine, et il était gigantesque, un véritable colosse. Nous nous sommes excusés, parce que nous devions partir travailler, et en chemin, Valérie m’a expliqué que Cédric l’avait abordée parce qu’il avait vu livrer le billard. Il prétendait être un excellent joueur, et Valérie l’avait invité un soir.

«Ce serait bien si tu avais un partenaire pour jouer au billard dans le quartier, tes copains ne peuvent venir que le week-end, avec Cédric tu pourrais jouer tous les soirs !»

J’ai dit : «Bonne idée !»

Le soir-même, Cédric s’est pointé, un pack de bières sous le bras. Nous avons discuté un moment tous les trois, puis nous sommes allés jouer, Cédric et moi, pendant que Valérie nous préparait le casse-croûte. Cédric était un bon joueur, je me défends, et nous étions presque égaux, c'était une partie agréable.

Valérie nous a apporté le casse-croûte, et elle est restée regarder quelques jeux. Cédric lui a demandé si elle voulait jouer, et elle lui a répondu que c’était inutile, qu’elle était nulle à ce jeu. Cédric a affirmé qu'elle avait juste besoin d'un bon professeur, et j'ai expliqué que j'avais essayé, mais que j'avais abandonné.

J'ai dit à Cédric : «Tu peux essayer de lui apprendre, mais avec moi, pas moyen !»,

Valérie a ajouté : «Ah, non, alors, avec Camille, pas question ! Il me stresse, me rend nerveuse, je ne peux pas me détendre avec lui, je perds mes moyens !» 

«OK, Valérie.
demain, je te donnerai ta première leçon. Moins d’une dizaine de leçons, et tu sauras frapper correctement la bille, ou je ferai comme Camille, j'abandonnerai.» 

Nous avons ri tous ensemble, et nous avons convenu de commencer le lendemain.

Le lendemain soir, nous avons joué au billard, Cédric et moi, pendant une petite heure, puis nous avons cassé la croûte tous les trois. Ensuite, Cédric a voulu donner son premier cours à Valérie. Je voulais m’installer dans un coin de la pièce pour les regarder travailler, mais Valérie m’a chassé :

«Pas question que tu restes ici à me regarder me ridiculiser. Tu vas te moquer de moi, et ça sera un massacre !»

Cédric a dit : «OK, première leçon d’une heure ! Vas-y, Camille, je m’en occupe !»

J’ai eu un choc en entendant Valérie verrouiller la porte quand je suis sorti. Elle a dit que c’était pour être sûre de ne pas être dérangée par mes sarcasmes.

Je n’avais pas l’intention de me moquer d’elle, j’étais un peu dépité de m’être fait mettre à la porte de MA pièce, Cédric m’a demandé de les laisser une heure tranquille, j’ai dit OK, Valérie m’a mis dehors, j’ai dit OK ! Devant la télévision, je ressassais ma rancœur. Profitant de la pause publicitaire, je me suis faufilé dehors, j’ai rapidement fait le tour de la maison, pour m’embusquer derrière un buisson proche de la fenêtre.

Il faisait sombre, je pouvais voir dans la salle de billard sans être vu, je me suis approché et j’ai vu Valérie, penchée sur la table, aligner la queue pour frapper la bille. Elle l'a très bien frappée et la bille qu’elle visait a failli tomber dans la poche. J'ai entendu Cédric lui dire :

«Très bien, maintenant, remets-toi en position»

Il a replacé les billes là où elles étaient, elle s'est penchée pour recommencer le coup, Cédric est venu près d'elle, et il s’est penché aussi. Dans la même position, juste à côté d’elle, la frôlant, ils étaient vraiment très proches l'un de l'autre, mais il la dominait de toute sa haute stature.
Elle avait l'air si petite et si fragile à côté de lui, il a enroulé son bras autour de sa taille, pour poser sa main sur sa hanche, et son autre main sur la main de Valérie qui tenait la queue,

Il lui parlait à voix basse, je n’ai pas tout compris, des bribes de phrase. J'ai cru entendre : «détends-toi, fixe ton attention sur la bille, bougeons ensemble, pousse la queue, conduis-la ...»

Sa bouche près de son oreille, sans bouger ses mains, Cédric s’est déplacé légèrement, posant son pubis contre le cul cambré de Valérie. Le contraste de la couleur de peau était très évident, l’envergure du colosse planant au-dessus de ma petite femme, l’érotisme de la pause, je n’ai pas pu m’empêcher de penser à la soumission de la femelle devant la puissance du mâle.

Juste en regardant Cédric et Valérie dans cette position, mon imagination a inventé un scénario rocambolesque, nourri par mes fantasmes, et j’ai dû m’enfuir, en proie à une érection surexcitée. Sans comprendre d’où me venaient ces idées tordues, je ne l’ai compris que plus tard, sur le moment la fuite a été ma seule réponse.

Assis dans le salon, rêvassant devant la télévision, je ne parvenais pas à calmer mon érection douloureuse. Je réfléchissais à tout ça, à cet homme noir planant au-dessus d’elle, à ses mains posées sur elle, à son ventre qui touchait son cul. Elle en était consciente, elle a ment senti son membre appuyer contre sa fesse, et elle n’a pas bougé. Elle n’a rien dit, elle n’a rien fait pour l’empêcher, pour le repousser. Pourquoi ?

J'ai pensé que ce serait sa première et dernière leçon. Oh ! Combien j’avais tort ! J'ai juste regardé le reste du programme, très excité. L'heure était écoulée, je suis allé toquer à la porte de ma salle de billard. Cédric m’a ouvert. J’ai pris un air détaché et un ton joyeux pour demander si tout s’était bien passé, et s’il était content de son élève.

Cédric a eut une phrase énigmatique, à double sens, vantant l’adresse de Valérie pour manier la queue et toucher les boules, ce qui a fait glousser ma femme, qui a ajouté «surtout les noires !» J’ai regardé Valérie, stupéfait, son regard était brillant et mystique, elle avait ce regard qu’elle a parfois après l’amour.
Elle était si sexy à côté de Cédric !

Je lui ai demandé si cela lui avait plu, si elle voulait une autre leçon, elle a soupiré, regardé Cédric comme s’il était un preux chevalier du temps jadis, et elle a dit «Oh, oui !» Tournée vers Cédric, la main sur son bras, elle a dit :

«Merci, Cédric, pour cette belle leçon, à demain, il est temps d’aller nous coucher.»

J'ai trouvé étrange que ce soit elle qui raccompagne Cédric sur le pas de la porte, elle est sortie un moment en claquant la porte derrière elle, ils ont discuté, mais de quoi ? J’étais monté me coucher, je l’attendais, et elle discutait dehors avec ce colosse noir qu’elle connaissait depuis deux jours seulement.

Je me suis aperçu que je ne connaissais pas Valérie. Qu’est-ce qui, chez ce black, l’a émoustillée à ce point. Elle est montée, toute joyeuse, elle m'a attrapé et m'a embrassé sur les lèvres en disant «viens au lit, chéri, je te veux». Sa main sur ma bite, instantanément raide, elle était surexcitée, je pensais à Cédric planant au-dessus d’elle, et j’étais excité moi aussi, on a fait l’amour comme des bêtes.

Taquin, quand elle s’est calmée, j'ai demandé si elle avait apprécié les cours de Cédric, elle s’est blottie dans mes bras et m’a juste dit : «Oh, oui, mon chéri !» Et nous nous sommes endormis ...

Le lendemain soir, Cédric est venu et nous avons joué entre hommes pendant environ une heure. Je subissais, moi aussi, l’emprise du colosse. Il me dirigeait, me commandait, et je perdais mes moyens face à lui. Je me comportais comme un débutant, et je suivais scrupuleusement ses indications.

Valérie était en haut, Cédric m’a dit : «Va la chercher, je pense qu'il est temps de commencer son cours. Reviens dans une heure !»

J'ai répondu : «Oui, Cédric !» et je me suis précipité, quand soudain j'ai réalisé que je me comportais comme un soumis devant son dominant. Cédric parlait, j’obéissais, naturellement … Il me disait de lui envoyer ma femme et j'obéissais, Cédric avait pris le contrôle sur moi comme sur ma femme.

J'ai appelé Valérie, elle était dans la chambre ... Je lui ai dit que Cédric la demandait, et j’ai eu le souffle coupé en la voyant. Elle avait revêtu un short blanc étroit, qui moulait ses fesses et sa chatte comme une seconde peau, à se demander si elle avait une culotte dessous. En haut, un bustier qui lui laissait le ventre et les reins à nu. Aux pieds, des mules à talon que je ne lui connaissais pas.

Elle avait l'air si sexy, presque salope, elle était maquillée comme pour sortir et, en passant devant moi, l’air était chargé des effluves de son parfum, je lui ai dit qu’elle était magnifique, très sexy, peut-être un peu trop ?

Elle m’a dit : «Oui, c’est Cédric qui m'a dit de m'habiller comme ça, le billard est un sport sexy, l’apparence compte, il faut être en accord avec son environnement, cela permet de distraire, ou même de troubler l’adversaire. Si je veux avoir une chance de te battre, je dois mettre tous mes atouts dans ma manche. Et si j’arrive à te battre, j’aurais ma récompense, Cédric me l’a promis !»

«Oh oui, j'attends cela avec impatience. Te battre et sortir ensuite avec Cédric. Non, mon chéri, pas toi, juste moi et Cédric. Il me sortira. Il m’emmènera au bar de l’académie de billard. Oui, très sexy, je ferai sensation !»

«Maintenant, Camille va regarder la télé, pendant que je vais m’exercer une heure avec mon professeur. Et ne viens pas nous déranger avant la fin de l'heure. OK, Camille ?»

«OK, Valérie. Je ne vous dérangerai pas, pas besoin de verrouiller la porte.»

«Je verrouillerai la porte si j’en ai envie !»

Valérie est entrée dans la pièce, rejoindre Cédric, et elle a verrouillé la porte. J'ai pensé qu’elle se fichait de moi. Je suis sorti subrepticement, et j’ai fait le tour de la maison en courant. Il ne faisait pas encore nuit, ils avaient tiré un peu le rideau, je ne voyais pas grand chose, mais la fenêtre étant ouverte, je les entendais discuter.

«Oui, Valérie, c’est bien, mais je veux voir tes seins plus sexy demain soir. Tes seins sont splendides, haut perchés et bien ronds, il faut les montrer lorsque tu te penches sur la table.»

«Oui, Cédric»

Cédric a posé ses mains sur les épaules de Valérie : «Bien, pour l'instant, ajustons-les un peu ...»

Il a fait glisser le haut d'une épaule pour resserrer la bretelle en soulevant le sein avec la main, puis il a fait la même chose de l'autre côté. Je regardais avec étonnement la docilité de Valérie, qui se laissait tripoter les nichons.

Il a délaissé ses bretelles de soutien-gorge pour la contourner et se placer derrière elle, les mains sur la peau nue de ses hanches. Elle a penché sa tête sur le côté en tirant ses cheveux pour dégager son cou. Il s’est penché sur elle pour humer son parfum en déposant un baiser dans son cou. Elle a eu un petit rire de gorge énervé.

«Tu es merveilleusement belle et tu sens merveilleusement bon ! Tu sais, chez moi, en Afrique, les gars sont francs et directs. Si tu as de beaux seins, ils te le diront. S’ils te caressent un peu, ça n’a pas de conséquences fâcheuses. Tu ne dois pas te vexer si mon admiration pour toi me conduit à ce qu’ici, on appelle "des gestes déplacés". Nous, les africains, n’avons pas de "gestes déplacés". Juste de l’affection et de l’admiration pour une belle femme. Une femme sensuelle et sexy comme toi, Valérie, ne dois pas être gênée par mes compliments, juste flattée et heureuse.»

Toujours debout derrière elle, il a remis son visage dans son cou pour en absorber l'arôme, en même temps ses lèvres déposaient une série de petits baisers dans son cou. Il s’est détaché d’elle à regret :

«Allez, bébé, c'est l'heure des cours. Ta leçon n°1, c’est ta tenue vestimentaire qui doit distraire ton adversaire. Quand je t'emmènerai à l’académie de billard, je te veux désirable et célibataire. Tu as un beau corps. Tu dois t’en servir. Je veux que les mecs soient distraits, Tu dois mettre une mini-jupe et un soutien-gorge pigeonnant. Quand tu seras à la table de billard, les gars ne doivent voir que tes fesses et tes seins, pas le jeu. OK, bébé ?»

«Oui, Cédric»

«Demain soir, je voudrais que tu sois habillée comme pour sortir. Une mini-jupe la plus courte possible et un maximum de seins visible. Et tu vas battre Camille. Et je te sortirai. OK, bébé ?»

«Oui, Cédric»

«Valérie, tu as verrouillé la porte, mais pourquoi ?» 

«Oh, c’est Camille qui me l'a suggéré, pour que je puisse être plus détendue !»

«Eh bien, oui, c’est une bonne idée, nous sommes parfaitement détendus en privé.»

En les écoutant, j'avais une érection dure comme du bois. Je suis retourné devant ma télé, j'ai résisté à l’envie de me masturber, et ça a fini par se calmer. Je suis un contemplatif, un rêveur. Je pourrais facilement être un voyeur. Ça ne me dérangeait pas beaucoup qu’elle se laisse tripoter par ce grand noir. Je ne comprenais pas pourquoi, mais au fond de moi, confusément, cela me plaisait. Pendant la pause publicitaire, je suis retourné voir l’avancement des cours.

Penché sur elle, son ventre frôlant son cul, il lui disait :

«Maintenant, ferme tes jolis yeux et sens la queue glisser doucement entre tes mains, sois douce, aime-la, sens comme elle est dure. Tu le sens ?»

«Oui, Cédric»

«Bien, tu dois traiter cette queue avec amour, et tu seras une grande joueuse. Si tu fais l'amour à cette queue, tu battras Camille.»

Il s’est redressé, et j’ai pu voir qu'il bandait. Son renflement parfaitement visible devait s’appuyer contre elle, elle l’a senti sur ses fesses, et elle l'a accepté, elle était si jeune et si naïve.

Il a repositionné la bille blanche, et il lui a demandé de faire glisser doucement la queue dans sa main en poussant la bille vers l’objectif. Viser le trou, il n’y a que ça qui compte. Tout le temps, il a gardé sa main sur ses reins nus.

En bougeant sa main doucement, elle a frappé la bille, qui a heurté l’autre bille, qui est tombée dans le trou. Elle a sauté en l’air, de joie et d’excitation, et elle s’est jetée dans ses bras. Cédric l’a félicitée, en l’enlaçant tendrement, elle n'a rien fait pour s'opposer, pour s’échapper. Il a dû prendre comme une déclaration le fait qu’elle lève son visage vers le sien, il s’est penché sur elle pour déposer un baiser sur ses lèvres. Elle n’a pas protesté, elle lui a rendu son baiser.

Il l’a embrassé profondément, longtemps, avec les mains sur son cul :

«Voilà, ma fille, tu es une bonne élève, et tu deviendras une grande joueuse. Excuse-moi de t’avoir embrassée, tu es tellement belle, je n’ai pas pu résister. Est-ce la première fois que tu embrasses un africain ?»

«Oui, Cédric» elle baissait les yeux, rougissante et troublée, sans chercher à s’éloigner de l’emprise de ses mains baladeuses.

«Dis-moi, bébé, tu n’as jamais fait l’amour avec un africain ?»

«Oh, non, Cédric. Jamais !»

«Tu vas apprécier, chérie, c'est tellement différent. Avant de continuer la leçon, Valérie chérie, j’aimerais te demander ?»

«Oui, Cédric ?»

Valérie restait blottie dans les bras de Cédric penché sur elle, il chuchotait presque, je n’ai pas bien compris. Il lui parlait de moi, que j’étais très efféminé, est-ce que je me travesti, me maquille parfois, il a la peau si douce, ne crois-tu pas, a-t-il de la lingerie, peut-être devrais-tu le tester, peut-être il aimerait ?

«J’ai souvent pensé que Camille avait un côté très féminin, peut-être que tu as raison, je devrais le tester, savoir s'il aimerait porter de la lingerie. J’ai un couple d'amis, mariés, elle a fait de son mari un cocu soumis, et ils s'amusent beaucoup, car il s'est avéré que son mari aimait la lingerie. Camille est comme ça, parfois, il y a en lui quelque chose d’efféminé.»

OK, je n’étais pas sûr de ce qu’avait pu dire Cédric, mais j’avais bien compris la réponse de Valérie.

«Bon, passons à la leçon si tu veux la battre.»

«Cédric, tu as dit de LA battre ?»

«Oh, désolé ! Camille est tellement efféminé, je pense à lui comme à une fille !»

Je suis rentré dans la maison avec une énorme érection, déconcerté par ce que je venais de voir. Ils se sont embrassés, et je ne pouvais rien y faire ou dire, sans quoi je devrais reconnaître que je les espionnais.

L'heure terminée, j'ai toqué à la porte. Frapper pour rentrer chez moi, dans la pièce qui m’était réservée, quelle honte.

«Juste une seconde, Camille !» J’ai entendu un remue-ménage, puis :

«Ouais, c’est bon, tu peux entrer maintenant, Camille !»

Ils se tenaient côte à côte de l'autre côté de la table, elle avait l'air émoustillée et posait sur Cédric un regard alangui. Elle était tellement sexy, était-elle amoureuse, mouillée, excitée ?

«Bon, alors, tout se passe bien ? T’es content de ton élève, Cédric ?»

«Super ! Je te l’ai déjà dit, mais Valérie est vraiment bonne pour manier la queue !»

«J’apprécie beaucoup les exercices que Cédric me propose. Ses instructions me stimulent, et je vais parvenir à te battre un de ces jours. Ma récompense sera une sortie à l’académie de billard, accompagnée de Cédric.»

«Quand Valérie te battra, ce qui ne saurais tarder, n'est-ce pas Camille, j’espère que tu te sentiras honoré quand elle m’accompagnera à l’académie de billard. Je souhaite que tu aides Valérie à s'habiller sexy pour ce rendez-vous, tu veux qu’elle soit fière et heureuse, n'est-ce pas, Cédric ? Je lui ai déjà inculqué les bases d’une tenue sexy pour cette nuit-là, il faut qu’elle soit irrésistible pour distraire ses adversaires.»

Cédric a donc prit congé en disant à Valérie d’essayer de réaliser ce dont ils avaient parlé. Promis ?

«Oui, Cédric, promis, je le ferai» Je me demandais de quoi ils parlaient.

Valérie m'a entraîné directement à l'étage, elle a sauté dans le lit en me disant de la déshabiller, qu’elle avait hâte.
Je l’ai aidé à enlever son top et son soutien-gorge, ses mamelons pleins de vie se balançaient, ses tétons érigés me tentaient, mais elle me pressait, je lui ai enlevé son short, j’ai touché sa chatte à travers sa culotte.

Elle était tellement trempée, elle dégoulinait. Elle a dit :
«Touche ma culotte. Tu aimes ma culotte ? C’est doux au toucher une culotte de fille, dis-moi, Camille ?»

J'ai pensé à ce que lui avait dit Cédric. J'ai pensé que c’était comme un jeu. Je lui ai dit que sa culotte était douce et soyeuse, si délicate et si jolie. Elle a poussé un cri de joie et elle a sauté du lit. Elle est allée farfouiller dans son armoire et elle revenue avec une brassée de culottes roses et soyeuses. Elle en a choisi une :

«Tiens, Camille, sois gentil, essaye celle-là.»

Elle m’a aidé à l’enfiler et à la mettre en place en caressant longuement mon sexe tendu et mes bourses gonflées par l’attente et le désir. Sans cesser ses caresses, elle m’a demandé :

«Tu es bien, dedans ? C’est confortable ! Maintenant, tu auras ta propre culotte, chéri ! Tu aimes, n’est-ce pas ? C’est si doux, au toucher, si soyeux, j’aime te caresser. Tu veux bien les garder pour me faire l’amour ? Juste glisser un peu pour sortir ton sexe. Comme ça, voilà. Tu parais encore plus dur avec cette culotte. Elle te fait de l’effet, n’est-ce pas ? Tu les garderas tout le temps, pour me faire plaisir. Tu veux que je sois heureuse, n’est-ce pas ? Je t’aime.»

Je repensais à sa discussion avec Cédric, à ce qu’il lui avait demandé. C’était des culottes de fille, mais elles étaient si belles et si douces. J’ai trouvé drôle que ça me plaise, et j’ai pensé que je pourrais jouer le jeu pendant un moment, juste pour lui plaire, et lui faire plaisir. Sans savoir où tout cela me mènerait. C’est fou, quand on y pense, le nombre de conneries qu’un homme peut faire, par amour pour une femme.

Elle s'est allongée tout contre moi en massant ma bite par-dessus la culotte. Elle me parlait de ma peau douce, de mon teint de pêche, de la rondeur et de la douceur de mes fesses de fille. Elle m’a dit qu’elle aimerait m’habiller en fille, me faire porter de la lingerie, que ça l’exciterait. Elle m’a dit que je serais "heureuse" de porter des sous-vêtements "découpés aux bons endroits", afin que je sois accessible et féminine.

Elle me parlait d’une voix douce, sans cesser de caresser, elle me parlait d’hormone à base d’œstrogènes, de l’épilation à l’électrolyse, de gonfler un peu ma poitrine, pas trop, juste ce qu’il faut, que nous serions comme des copines.

Elle m’a parlé de Cédric, de son sexe énorme, qu’il l’avait pressé contre elle, sur sa hanche, sur ses fesses. Que cela lui avait procuré une émotion, elle avait trempé sa culotte. Elle m’a dit que c’était vrai ce qu’on raconte sur les africains, tu sais, si gros, si virils, et si pressants. Elle pensait sûrement à Cédric quand elle s’est mise à quatre pattes.

Elle m’a dit de la prendre en levrette, sans ôter ma culotte, juste glissée de côté, j’ai glissé ma bite dans sa moiteur, elle nous regardait dans le miroir à côté du lit, moi la chevauchant, elle disait :

«Oh, mon dieu, Camille, comme tu bouges bien tes fesses, tes fesses si rondes dans ta culotte de fille, tu as un boule de fille, chéri, tu es si féminine. Tu aimes ta culotte de fille. Tu aimes quand je te parle comme ça. Tu me baises bien, ça t’excite, hein ? Oui, chéri, baise-moi plus dur, plus fort, baise-moi comme un homme, vas-y, défonce-moi...OUI !»

«Tu es venu fort, chéri. Ça t’excite quand je te parle de Cédric, de sa virilité ? Et quand je te traite de fille, tu aimes ? Regarde, tu reviens déjà en forme. Tu verras, on va bien s’amuser, quand tu seras vraiment efféminé. Maintenant, viens avec ta bouche, bonne fille, Camille.»

Elle m'avait mis une culotte et elle m'avait traité de bonne fille. Elle me parlait de cet africain qui l’émoustillait. Pourquoi ce type nous excitait autant, tous les deux. Nous avions baisé comme des bêtes en pensant à lui. Pourtant, je ne suis pas gay. Il chauffe ma femme et je ne suis pas jaloux. Juste envieux … Envieux de quoi ? D’’être aussi viril que lui, ou d’être dans ses bras? Que se passait-il dans mon cerveau détraqué.

Adolescent, je me cachais pour espionner les couples pendant le coït. Cédric prenait le contrôle de ma femme, et je le regardais faire, et ça m’excitait. Je n’entendais même plus Valérie me dire qu’elle allait m’acheter de la lingerie, qu’elle devait de renseigner sur les hormones adaptées à mon cas, et me prendre rendez-vous pour une épilation.

Le lendemain soir, Cédric est venu jouer, comme d'habitude, comme tous les soirs, nous avons joué au billard pendant une heure, puis il m'a demandé de lui amener la femme, pas Valérie, LA femme .... encore une fois, sans discuter, j'ai obéi, je suis monté la chercher dans la chambre où elle se préparait pour lui.

Je lui ai dit que Cédric la voulait, elle est passée devant moi sans un mot, j’ai tout de suite remarqué ses seins, ils étaient plus gros, plus haut, plus compacts, et les tétons semblaient vouloir transpercer le tissu. Elle portait un bustier en dentelle qui montrait plus de chair qu’il n’en cachait. En bas, elle portait sa jupette blanche de tennis, ses jambes étaient nues sur ses mules à talon.

Je lui ai demandé si elle avait acheté un nouveau soutien-gorge. J'ai dit qu’elle avait l'air délicieuse, avec ses seins plus gros, elle a juste ri, m’a caressé la joue et m’a précisé que c’était un «push-up» et qu’elle l’avait depuis longtemps, mais qu’elle ne le mettait pas.

Elle était maquillée et sentait bon, ses talons et sa jupette mettaient ses jambes en valeur, son bustier était un appel au viol, je l’ai suivie jusqu’à la pièce de billard, en humant son parfum étourdissant. Sur le pas de porte, elle s’est retournée vers moi, la main sur la poignée, et m’a dit :

«Va regarder la télé.» Je devais avoir l’air misérable parce qu’elle m’a souri.

J’ai répondu : «OK, à plus tard.»

En partant, je l'ai entendu lui dire : «Tu es magnifique, chérie. Ferme la porte, et approche !»

J'ai couru pour faire le tour de la maison. Valérie se tenait devant lui, les bras ballants. La main de Cédric effleurait sa poitrine tandis qu’il la complimentait sur sa toilette, le volume de ses seins. Il l’a faite pivoter, s’est penché sur elle, elle a incliné la tête de côté, il a posé sa bouche dans son cou, longtemps, de nouveau elle a eu ce rire de gorge, ce petit rire énervé, séduite par la mâle virilité du grand black.

Toujours pressé contre elle, derrière elle, il a mit ses mains en coupe sous ses seins, pour la complimenter sur leur apparence. Il lui a demandé si elle avait bien découpé son soutien-gorge pour faire sortir ses tétons, qu’est-ce qu’elle avait utilisé pour qu’ils soient dressés comme ça, que ses adversaires ne verraient que ses seins excités quand ils iraient à l’académie de billard.

Elle restait là, les bras ballants, gênée et rougissante sous le déluge de compliments et de caresses. Il lui a demandée si ça l’excitait de troubler des hommes, si elle savait qu’elle était bonne, il l’a faite pivoter à nouveau pour l’embrasser langoureusement sur la bouche. Mais il avait été un peu vite en besogne, et elle s’est dégagée :

«Cédric, je suis mariée !»

«Valérie, tu es une gentille petite fille, mais tu dois te préparer mentalement pour aller affronter tes adversaires à l’académie de billard. Tu ne seras pas mariée, mais célibataire. Tu ne devras pas porter ton alliance. Camille comprendra. Nous devrons nous comporter comme un couple, d’accord ?»

De nouveau, il l’a prise dans ses bras pour l’embrasser doucement. Elle l’a laissé faire, alors son baiser est devenu plus profond, plus intense, avec ses mains sur son cul, qui pressaient le ventre de Valérie contre sa virilité tendue. De nouveau, elle s’est dégagée, essoufflée, avec plus de difficultés :

«Cédric, je suis mariée !»

«OK, bébé ... mais on doit s'entraîner pour se comporter comme un couple quand nous serons à l’académie. Allez, embrasse-moi encore une fois, et nous allons attaquer le cours.»

Sur la pointe des pieds, elle l’a embrassé longuement, passionnément, tandis qu’il fouillait sous sa jupette. Il avait pris l’ascendant sur elle, la dominait, la contrôlait, je suis parti avant de jouir dans mon pantalon. Je n’étais pas jaloux, juste incroyablement excité, tourmenté par la rapidité avec laquelle il prenait l’ascendant sur elle, certain maintenant qu’il allait la baiser sous peu.

J’avais un autre sujet de préoccupation. La matière douce et soyeuse de cette culotte sexy que ma femme me faisait porter. Cette matière, ce contact m’excitait sexuellement. J’aimais son contact, j’aimais porter ces culottes de fille.

Pendant la publicité, je suis retourné à mon poste d’observation, près de la fenêtre. Cédric était assis sur le billard, les jambes pendantes, il avait attiré Valérie entre ses jambes, la pressant contre lui avec ses mains sur le bas des reins. Pour écouter ce qu’ils se disaient, je me suis faufilé sous la fenêtre entrebâillée.

«Valérie, parle-moi de la nuit dernière, quand tu t’es couchée avec ton petit mari.»

«J'ai fait ce que tu m'avais demandé, Cédric, je lui ai fait mettre une culotte de fille. J’ai été surprise, il a aimé...»

«À quel point ?»

«Je ne sais pas comment tu l’as vu, je n'avais jamais réalisé qu'il avait un penchant pour se travestir, il était heureux de les porter, Camille aimait vraiment cela»

«Valérie, as-tu eu des relations sexuelles avec Camille, hier soir ?»

«Oui Cédric, c’était très chaud, il a gardé la culotte sur lui, alors ça a été très rapide ...»

«C'est la culotte de fille qui l’a excité autant ? Est-ce que tu pensais à moi pendant qu’il te baisait ?»

«Tu ne devrais pas me demander cela, Cédric, je faisais l'amour avec mon mari ...»

«Oui, je sais, mais dis-moi, Valérie, as-tu pensé à moi ? Dis-moi la vérité …»

«Oui Cédric, je pense tout le temps à toi ...»

«Hum, Valérie tu es toute mouillée ... bonne fille ! Est-ce que tu lui as acheté cette tenue de soubrette que je t’avais recommandé ?»

«Oui Cédric, je l’ai rangée sous son oreiller, il la mettra quand nous irons nous coucher,»

«Alors, quand ce sera l'heure du coucher, dis-lui de monter se préparer, de mettre la tenue qui est sous son oreiller, et de t’attendre sur le lit. Quand tu monteras le rejoindre, si Camille a suivi tes instructions, s’il est travesti en salope, c’est qu’il aura accepté d’être ton esclave, une poule mouillée, soumise et docile. Alors, tu auras un mari obéissant à tous tes caprices, tous tes fantasmes, à ta botte, prêt à te servir. Il deviendra ta meilleure copine.»

«Donc, à partir de ce soir, plus de sexe direct avec pénétration, je te suggère de le masturber, lentement, en t’arrêtant quand tu sens que la moutarde lui monte au nez. Tu apprendras vite, tu verras, quand les couilles se contractent, qu’il va gicler, tu t’arrêtes de le branler, et tu serres fort la base de la bite jusqu’à ce qu’il se calme. Quand il sera dans cet état-là, en lui parlant doucement, tu pourras lui faire faire tout ce que tu veux. Il deviendra ton esclave docile.»

«Je te rappelle, pas de pénétration, ni devant, ni derrière. Tu ne le suces plus non plus. Par contre, lui peut te sucer tant que tu en auras envie. Et te doigter aussi, si le cœur t’en dis. Bon, tous les matins, n’oublie pas son traitement. Les œstrogènes aideront à calmer sa libido, diminueront sa pilosité, et aideront sa poitrine à se développer. Bien entendu, cela ne remplace pas l’épilation, mais ça la complète.»

«Valérie, si tu suis mes recommandations, très vite tu verras s’il devient suffisamment efféminé, et si nous pourrons envisager une transformation complète avec une chirurgie. Au Maroc, tout est possible, Camille sera une fille...»

«Bien, Cédric, je suivrai tes recommandations, pas de rapports sexuels, son traitement tous les matins, nous verrons s’il devient suffisamment efféminé.»

«Valérie, pendant cette période de transition, préfères-tu que j’arrête de venir jouer tous les soirs, pour te permettre de t’occuper de ton mari ?»

«Non, oh non, s'il te plaît, chéri, viens tous les soirs, m’apprendre …»

«OK, tu dois te comporter comme ma petite amie infidèle, maintenant, embrasse-moi … mieux que ça, comme ton amoureux, embrasse-moi comme si tu voulais me séduire»

Elle s’est pendue à son cou et l'a embrassé passionnément, avec sa langue dans la bouche de son amant. Il avait ses mains sur son petit cul joufflu, l’amenant contre ce qui devait être une érection très importante, Il s'est avancé au bord de la table, se pressant contre elle d'une putain de manière, elle était étreinte contre lui, ses mains jointes sur la nuque de Cédric, il la possédait et elle le laissait faire.

Les arrêter ? Mais j’en étais incapable ! J'étais excité, avec une érection douloureuse, et je voulais en voir plus, le voir séduire ma petite femme, c’était bien, mais pas suffisant. Cet homme noir était en train de la dompter, de l’asservir, et j’espérais qu’il la baise !

Sa main descendit entre eux, se dirigeant vers sa chatte. Elle n’a pas esquissé le moindre geste pour l’arrêter. Il a mis sa main dans sa culotte, puis il a probablement agité ses doigts dans sa chatte, parce que je percevais un clapotis.

«Oh, oui, petite fille, tu as besoin d’un grand garçon pour cette chatte désireuse. Ton petit minet efféminé ne peut pas te satisfaire. Tu as besoin d’un homme pour assouvir tes besoins. Dis-le, Valérie, demande-moi de te baiser.»

«Mais Cédric, Camille c'est mon mari, Cédric Je suis mariée» Elle protestait faiblement en l'embrassant amoureusement.

Les doigts de Cédric dans sa chatte trempée, elle a commencé à agiter ses hanches en gémissant. Il l’a soulevée de terre pour l'asseoir sur la table à sa place. Il s’est positionné entre ses jambes écartées. Il a écarté sa culotte pour mettre à nu sa chatte accueillante ...

Bon sang, il allait la baiser, j’étais surexcité. Je commençais à sortir ma bite dure comme du roc, je devenais fou. Il l'embrassait légèrement, du bout des lèvres, alors elle a mis ses mains sur la nuque de Cédric, pour l’attirer et l’embrasser profondément, durement, en grognant et en gémissant.

Ils s’embrassaient passionnément, mais j’ai pu voir Cédric sortir sa bite de son pantalon. Bon sang, il était énorme, plus de deux fois ma taille, un gland énorme et violacé, les veines saillantes. En saisissant ses jambes, il l’a tirée sur le bord de la table de billard. Machinalement, elle a relevé ses jambes.

Il promenait nonchalamment le gland le long de sa chatte, écartant les grandes lèvres, sondant la fente, ou il heurtait le clitoris dressé. Valérie frissonnait d’impatience en attendant la saillie imminente.

«Si tu veux ma bite, Valérie, dis-le, dis-le maintenant, vas-y dis-le ....»

«Non, Cédric, non, on ne peut pas, je suis mariée»

Sans forcer, il a glissé le bout de son gland dans son orifice en attente. J’ai vu les yeux de Valérie s’écarquiller. La surprise, la peur, la douleur ou le plaisir, je ne sais … Elle a retenu son souffle, mais il est ressorti immédiatement. Le gland ne l’avait même pas pénétrée entièrement, il est ressorti pour continuer de la caresser en tapotant son clitoris.

«Viens, Cédric, viens, maintenant, je suis prête ...»

«Si je mets ma grosse bite en toi, tu ne pourras plus m’arrêter. Tu le sais, si tu prends une grosse bite noire dans ta petite chatte, tu ne pourras jamais plus te contenter de la petite bistouquette blanche de ton chaton, tu deviendras ma femme, je te posséderai, toi et ta chatte de femme mariée et infidèle, tu seras mienne, tu réclameras toujours ...»

«Oh, oui, Cédric. Oui, viens maintenant...»

Je pouvais voir sa bite aller et venir le long de sa chatte humide, ouvrant les grandes lèvres, recueillant les jus qui suintaient. Valérie était en transe et cherchait à le happer en l’agrippant avec ses jambes, pour le faire tomber dans son trou en attente. Il l’évitait, se faufilait, lui échappait, jouait avec ses nerfs.

Elle s’énervait, grognait, le suppliait :

«Viens, Cédric, viens, ne me fais plus attendre.»

«Supplie-moi. Si tu veux que je te baise, supplie-moi !»

Et elle l’a supplié. Elle s’est abaissée, vaincue. Elle a pleuré, au comble de la fébrilité, tourmentée par son désir de sexe. J'ai pensé qu'il ne pourrait jamais insérer ce monstre en elle, sans la déchirer, sans la briser. J'ai vu le gland franchir la barrière de ses lèvres. J’ai vu sa chatte s’élargir, se dilater, s’ouvrir. J’ai entendu son cri, un cri de bête blessée, mais aussi un cri de joie. Elle s’est ouverte pour l’accueillir dans son antre. J’ai regardé ma femme se révéler, devenir une salope infidèle, en accueillant son amant jusqu’au fond de son ventre.

Il est resté immobile au fond de son ventre, le temps qu’elle s’habitue, et quand elle a bougé ses hanches, il l’a soulevée de la table sans effort. Elle s’est agrippée à ses épaules, les jambes autour de sa taille, et c’est elle qui a donné le tempo, montant et descendant sur le pieu de chair dressé sous elle.

Je regardais son visage ravagé par le plaisir, elle était dans un autre monde. Il la faisait sauter sur sa grosse bite noire, elle avait la bouche grande ouverte, sa respiration était sifflante et rauque, j’ai compris qu’elle lui appartenait. Et puis elle a joui. Un orgasme terrible, dévastateur, une explosion, les jambes tremblantes, le visage enfoui dans le cou de l’homme qui la possédait, un long sanglot s’est échappé de ses lèvres :

«Oh, mon dieu, Cédric, c’est merveilleux, tu es un amant extraordinaire, c’était … féerique !»

Il l'a assise de nouveau sur la table, mais elle lui tendait ses lèvres, elle voulait sa bouche. Elle était amoureuse, conquise, lascive, elle lui appartenait. Comme pour s’excuser, elle a dit :

«Il faut que j’aille à la salle de bain, avant que Camille n’arrive.»

J'ai couru m’asseoir devant la télé, puis Cédric est entré : «Salut Camille, j'ai le temps pour quelques jeux...»

J'ai demandé s’il était content de ma femme, de ses progrès, il m’a dit qu’elle était bonne ... Valérie est arrivée, elle avait enfilé une sortie de bain, elle m’a expliqué qu’elle avait dû prendre une douche rapide, Cédric l’ayant fait transpirer. Elle s’est assise sur le canapé, à côté de Cédric, presque blottie contre lui, naturelle et souriante.

Nous avons joué quelques parties, distraitement, pendant que Valérie vaquait à ses occupations. Elle est venue nous dire que c’était tard, qu’il fallait se coucher. Valérie m’a dit de ne pas l’attendre, de monter d’abord, elle devait parler à Cédric. Elle m’a dit que je trouverai mon nouveau vêtement de nuit sous mon oreiller, elle l’avait acheté pour moi aujourd’hui, je devais le mettre et l’attendre sur le lit.

J’ai dit «Oui, Valérie» Cédric a commenté en lui disant qu’elle avait un mari obéissant, et Valérie a conclu en disant "elle" adore recevoir des ordres, n'est-ce pas "ma chérie", comme si elle parlait d’une fille. Elle avait dit "elle" en parlant de moi. Ça m'a émoustillé.

J’ai monté les escaliers pendant qu'elle accompagnait Cédric jusqu'à la porte d'entrée. Sur le palier, je me suis planqué pour les regarder. Elle lui a tendu ses lèvres. Il l'a embrassée, et la sortie de bain s’est ouverte. Elle était nue dessous. Il a caressé son corps. Elle a écarté ses jambes quand il l’a doigtée.

Je l'ai entendu lui demander si "elle" (moi) allait lui, obéir et m’attendre sur le lit maintenant, et ça l’a fait rire. Valérie a répondu, "elle" va être raisonnable maintenant, dans sa nouvelle nuisette, "elle" sera toute mignonne. Cédric lui malaxait le sein d’une main, en la doigtant de l’autre, Valérie a commencé à panteler.

Cédric a demandé : «Tu veux de l’homme ?»

«Oh, oui, Cédric, s’il te plaît. Donne-moi encore, j’en ai trop envie.»

Il a sorti sa bite de son pantalon, il a retourné Valérie face au mur, lui a dit de se pencher, elle s’est cambrée en prenant appui contre le mur et en se haussant sur la pointe des pieds. Cédric a plié ses genoux pour s’aligner, et l’a pénétrée d’une seule poussée rectiligne. C’était beaucoup plus facile, sa chatte était déjà lubrifiée et dilatée. Cramponné à ses hanches, il l’a tambourinée sans ménagement, la faisant piailler.

«Sois plus discrète, Camille pourrait t’entendre et venir voir …»

«Non il ne viendra pas, bébé. Je lui ai donné l’ordre de m’attendre sur le lit.»

Cédric la baisait comme s’il voulait la détruire. Agrippé à ses hanches, son pubis claquait contre les fesses de ma femme, tandis que ses seins dansaient la gigue. Je l’ai vu tirer sa charge en elle. Elle vibrait sous l’intensité de son orgasme, et il a rempli sa chatte de sperme, profondément dans son ventre.

Quand il a sorti sa bite, elle s’est tournée et s’est agenouillée, pour nettoyer la bite luisante de leurs jus mêlés. Puis ils se sont embrassés, et il lui a dit d’aller s’occuper de la poupée. J’ai pensé : «Quelle poupée ?»

J'ai couru dans la chambre me déshabiller et m’équiper rapidement avec ma nouvelle tenue de nuit. J’avais un peu de temps parce que Valérie est repassée par la salle de bain. Je me suis contemplé dans le miroir. Une nuisette et un short, plus ample que la culotte, dans une matière vaporeuse et soyeuse. Très doux mais très translucide. Je me sentais presque nu, accessible, disponible. Cela faisait ressortir mon côté féminin.

Quand Valérie est entrée, je venais juste de me coucher. Elle a admiré ma tenue avec un large sourire.

«Je suis contente, ça te va bien.»

«Oh, oui, Valérie, j'adore ce jeu ...»

«Ce n'est pas un jeu, Camille. C'est ta nouvelle tenue de fille, maintenant, Si tu es une bonne fille, on sera copines. Lève-toi, tourne un peu que je vois. Bon, je ferai une petite retouche ici, mais pour ce soir, ça ira. Bien, puisque ça te plaît, je pourrais t’acheter d’autres petites choses, plus sexy. Allez, au lit, fillette !» Et elle m’a claqué les fesses.

Quand elle a quitté sa sortie de bain, elle portait une nuisette et une culotte, donc j’ai compris que je n'aurais pas de rapports sexuels ce soir. Elle s’est blottie contre moi dans le lit, et sa main est allée droit sur ma bite. À travers le tissu soyeux, elle a massé mes bourses et ma tige lancinante.

Elle me parlait d’une voix douce, entrecoupant son discours de petits baisers sur la bouche, et de "je t’aime" dit d’une voix mourante. Elle m’a dit que j’étais une belle poupée, très féminine, que ma nouvelle tenue me sied à ravir, tout cela sans cesser de caresser ma bite.

De temps en temps, quand je grognais «Oh, ça vient !» elle s’arrêtait de me tripoter en riant «Pas si vite !»

Finalement, elle est allée chercher un rouleau d’essuie-tout, en disant : «Maintenant, nous sommes prêtes, bébé.»

«Valérie, je préférerais te baiser ...»

«Oh non, ma chérie, tu es une fille maintenant, les filles ne baisent pas, elles utilisent leurs doigts et leur bouche pour se faire plaisir. Pas de baise, petite coquine. Chérie, ton gros clitoris est tout congestionné ce soir, tu t’es encore masturbée en regardant la télé, vilaine !»

Elle a recommencé à me caresser la bite tout en me parlant : «Chérie, en caressant ton gros clitoris, je pensais à Cédric. Tu sais, il m’éduque bien, je l'aime beaucoup, et je pense qu'il m'aime aussi, J'ai une confession à te faire, pour le remercier d’être si gentil avec moi, je l'ai embrassé ce soir … Non, ne te fâches pas. J’avais réussi un très joli coup, j’étais si contente que j’ai sauté de joie … dans ses bras ! J’ai sauté à son cou, je l’ai embrassé, et il m’a embrassé aussi. Comment te dire, ça s’est fait comme ça, naturellement, sans réfléchir … Ensuite, il m’a touchée … la minette ! Non, ne dis rien, ma chérie, ne lui en veut pas, tout est de ma faute ...»

«Tu sais, Camille, ma culotte était si étroite qu’il n’a eu aucun mal à mettre ses doigts dedans … ma chatte ! Et je l’ai aimé, oh, j’ai adoré cela, Camille. J’aime beaucoup Cédric, tu sais, mais ce qu’il m’a fait avec ses doigts, mon dieu, j’étais incapable d’arrêter ça ! Doucement, Camille, je vois que ça t’excite beaucoup, ce que je raconte !»

J’étais si proche de jouir, ma bite palpitait, alors Valérie s’est arrêtée de me caresser et elle a serré la base de ma bite très fort : «Doucement, calme-toi, Camille, je n’ai pas fini mon histoire. Je vois que ça t’excite beaucoup que Cédric m’a embrassée et doigtée la chatte. Tu sais, Camille, j’ai adoré !»

«Tu sais, Camille, quelque chose ne va pas bien chez nous. Un type, un noir, vient à la maison, m’embrasse, me tripote et ça nous excite. Moi, ça m’a fait jouir, et toi, tu ne parviens pas à te contenir. C’est excitant, n’est-ce pas, Camille, de savoir que ta femme est une salope infidèle ? Du coup, tu aimerais qu’il recommence ? Moi, j’aimerais bien qu’il me baise. Mais toi, Camille, tu serais d’accord ?»

«Oui, Valérie, oui, je suis d’accord pour tout, mais ne t’arrêtes plus de me branler !»

«Camille, maintenant que tu es une fille, je pense que je peux te dire des trucs de fille ...»

«Valérie, t’es sérieuse, là ?»

«Oui, très sérieuse, et je pense que tu vas adorer ça Camille. Fais-moi plaisir, je voudrais te raconter mes secrets de fille, habillées en fille, comme maintenant, dans nos tenues de nuit. Tu es d’accord ?»

«Bon, d’accord, Valérie. Je t'aime tant, si cela peut te faire plaisir, mais seulement en privé, dans la maison.»

«Bien sûr, Camille, seulement dans la maison ...Je sais que tu vas aimer ça, bien, occupons-nous de ton gros clito, maintenant, il est tout congestionné !»

Elle m’a dit de me détendre, elle m'a embrassé en massant ma bite avec le papier absorbant enroulé autour. Mes couilles me faisaient mal, à cause de l’excitation de ce que j’avais vu et subi toute la soirée, sans pouvoir me soulager. Je savais que je ne viendrais pas rapidement, je m’étais trop retenu. Elle chuchotait à mon oreille. Elle tenait ma tête pressée sur son sein pour me raconter ses secrets de fille :

«Camille, tu l’as compris, j'aime beaucoup Cédric. C’est le premier homme noir qui m’a embrassé. J’étais tellement ... séduite ! Si femme, si sexy, je voulais l'embrasser encore, Camille, je voulais le caresser comme je te caresse. J’ai voulu sentir sa bite en moi, me pénétrer, m’élargir, me remplir toute. Oh, comme tu respires fort, Camille, quand je te raconte ce que j’ai fait avec Cédric. Je vois bien que ça t’excite, toi aussi, tu aimerais que Cédric te prenne ?»

«Oh, mais tu jouis, Camille, non, ne te tords pas comme ça, reste contre moi, pense à Cédric, tu n’imagines même pas comment il m’a fait mouiller, je le voulais dans mon lit. Imagine, Camille, toutes les deux, avec Cédric dans notre lit, comme on serait heureuses. Cédric veut venir avec nous dans ce lit, Camille. Il veut mettre sa grosse bite noire dans ma petite chatte blanche. Et toi tu l’aiderais, Camille. Tu le sucerais pour qu’il soit bien dur. Tu n’imagines même pas comme on serait heureuses, bien baisées. Viens, Camille, suce-moi, maintenant. Le sperme de Cédric suinte de ma vulve, lèche-le, c’est un nectar délicieux.»

Valérie m’a dit qu’elle m'aimait tellement, d'autoriser Cédric à dormir avec elle, ici dans ce lit … J’ai dit ça, moi ? Elle m’a dit qu’ils feraient de moi une fille adorable et docile. Elle m’a dit que j’avais eu ma meilleure éjaculation de tous les temps. Que je devais dormir maintenant, en rêvant de Cédric, dans ce lit, en train de lui faire l’amour, à elle, Valérie.

Le lendemain matin, dans mon tiroir, je n’avais plus que des culottes de filles. Valérie m’a dit que j’étais une fille maintenant, alors je devais porter des culottes de fille. Sous les vêtements, personne ne le saura. Ce soir, tu auras une autre surprise. Le soir, en rentrant du travail, Valérie était déjà là.

Je suis allé prendre une douche. En entrant dans la chambre, j’ai vu Valérie assise sur le bord du lit. J'étais un peu excité, à cause de la chaleur de la douche, elle a attrapé ma bite et me l'a sucée. Je gémissais, elle m’a dit que pour être une gentille fille, je devrais prendre des médicaments, pour que mon gros clitoris arrête de m’embêter.

Sans lâcher ma bite, Valérie m’a remorqué vers la chambre d'amis. Sur le lit, était étalé tout un tas de lingerie féminine. Valérie s’est accroupie devant moi pour m’aider à m’équiper, le porte-jarretelles, les bas, ajuster l’ensemble. Elle s’interrompait un instant, pour me sucer encore, mes couilles étaient dures, elle me parlait, me disait que j’allais être mignonne, docile, soumise, et puis je ne sais plus quoi. La tête me tournait, j’avais envie de baiser, mais elle m’esquivait en riant.

Elle me racontait des trucs de fille, qu’elle avait pris rendez-vous pour une épilation définitive, elle voulait se faire épiler quoi ? Toujours en papotant, elle a sorti de dessous l’oreiller ma nuisette et ma culotte pour finir de m’équiper. J’étais étonné de trouver mes vêtements de nuit ici, d’ordinaire elle les rangeait dans ma chambre, sous mon oreiller.

Elle me parlait comme si j’étais une fille, me complimentait sur ma féminité, en suçant ma bite qu’elle appelait mon gros clitoris, et mon trou du cul une chatte de garçon. Une fois équipée, elle a sorti du tiroir de la table de nuit une boîte de gélules. Elle m’en a donné deux, avec un peu d’eau. Elle m’a dit deux tous les jours pendant la première semaine, ensuite ce sera une par jour. Elle a dit que ces médicaments allaient me rendre heureuse d’être une fille.

Valérie m’a dit que j’allais être choyée, que je serais la fille de la maison, qu’ils prendraient soin de moi, qu’ils feraient de moi une femme à part entière. Mon esprit se brouillait, je l’aimais trop pour la contredire, je pensais qu’elle se rendrait compte toute seule de son erreur. Elle m’a fait tourner sur moi-même devant le miroir pour m’admirer.

Elle m’a fait enfiler un petit soutien-gorge garni de faux seins en silicone, avec des tétons énormes, elle m’a maquillée, j’avais l’air d’une salope sexy. Ensuite, elle s’est équipée aussi. Un body en dentelle, transparent, découpé au niveau des nichons, avec juste une ficelle dorée qui le tenait entre les jambes, équipé de jarretelles pour retenir ses bas à couture. Des talons aiguilles, et une fois maquillée, elle avait l’air encore plus salope et plus sexy que moi.

Elle m'a embrassé à pleine bouche, passionnément, et m'a dit que j’étais sa petite amie. Elle m’a dit que cette chambre était la mienne, maintenant, ma chambre de fille, pour ranger toutes mes affaires de fille. Puis nous sommes descendues dîner, bras dessus, bras dessous, comme deux copines.

Valérie m’a dit que ça allait être génial d'avoir une copine pour l’aider dans les tâches ménagères, elle parlait beaucoup, me soûlait, planifiait l’organisation des tâches, essentiellement un maximum pour moi et presque rien pour elle. Elle disait que j’allais être heureuse de les servir, et que j’aurais ma récompense, si je le méritais.

Puis elle m’a parlé de Cédric, oh, je l’avais oublié celui-là, oui, bien sûr, il vient ce soir, oui, ma chérie, il m'a téléphoné pour me dire qu'il passerait m’embrasser, il m'a dit à quel point il aimait m'embrasser. Il a trouvé sympa que ça ne te dérange pas qu’il m'embrasse. En entendant cela, ma bite est devenue toute dure et a poussé sous ma culotte. 

«Oh Camille ! Ton gros clitoris est devenu tout dur quand je t’ai parlé de Cédric. Tu vois que tu commences à l’aimer, toi aussi. Viens ici, ma Camille, viens .... bonne fille !»

Valérie a posé sa bouche sur ma bite, et sa main a massé mes bourses. Elle a pris ma main pour la poser sur sa chatte. Elle était trempée et ouverte. Elle m’a dit :

«Tu vois, ma chérie, dès qu’on parle de Cédric, nous sommes mouillées toutes les deux. Rien que de penser à lui, ça nous excite. Cédric, c’est un vrai mâle, puissant, viril, tu verras, tu apprendras à le servir, et tu seras heureuse ...»

Nous avons fini de manger et de laver la vaisselle, puis nous sommes montées à l'étage, où Valérie m’a appris à plier le linge. «Maintenant que tu es une fille, chérie, tu dois savoir ces choses.»

Je n'ai pas entendu la porte d'entrée, ni le grincement caractéristique des escaliers. J’ai sursauté en entendant «salut, les filles». Cédric était sur le pas de la porte. Valérie a poussé un cri et s’est jetée dans ses bras. Ils se sont embrassés longuement, passionnément. Cédric avait la main sur son cul.

«Ah Camille, j’ai oublié de te le dire, Cédric fait partie de la famille, maintenant. Il est ici chez lui, donc ne sois pas surprise qu’il rentre sans frapper !»

Cédric m'a regardé, un drôle de regard. Je me suis demandé s’il me convoitait ou s’il se foutait de moi. Valérie a tenu à faire les présentations :

«Voici Cédric, mon amant. Sa grosse bite me rend dingue ! Et voici Camille, ma nouvelle copine, elle suce merveilleusement bien !»

Cédric a joué le jeu, il m’a tendu la main. Il m’a serré la main, un peu trop, pour me montrer sa force, et pour être sûr que je me tienne tranquille, il m’a attiré près de lui et m’a caressé les fesses. Valérie a eu un petit gloussement en me voyant aussi humilié et sans réaction. Une vraie femmelette.

Sous le choc, je me suis assis sur le canapé. J’étais gêné, je ne pouvais pas les regarder, ils se tenaient enlacés, debout au milieu de la pièce, échangeant de doux baisers tout en se caressant voluptueusement.

Valérie a dit : «Camille, lève-toi, s'il te plaît» Je n'ai pas bougé, alors l’ordre a claqué, comme un coup de fouet :

«Camille, DEBOUT !»

Son ton était tellement impérieux, elle ne m’avait jamais parler comme ça avant, je me suis levé, les bras ballants.

«Approche, tourne un peu, encore, montre toi !»

Les ordres claquaient, les uns après les autres, et j’obéissais docilement.

Tournée vers Cédric, elle lui a demandé «elle est pas mal, non ?» Valérie a tendu la main, écarté ma nuisette et fait glisser ma culotte sur mes cuisses :

«Tu vois, ce qui gâche tout, c’est son gros clito. Qu’est-ce qu’on pourrait faire ? Le mettre en cage, tu crois ?»

Cédric me regardait, et mon sexe rentrait dans sa coquille, tissant à vue d’œil. Il s’est approché de moi, m’a enlacé, et il a pris mon service trois pièces dans sa main :

«Ouais, je suis d’accord. D’abord, ça l’empêchera de grossir, et il te laissera tranquille, même quand je suis pas là.»

J’avais tellement peur qu’il joue au casse-noix avec sa grosse main puissante, je n’ai pas bougé. Sa main a glissé sur mon cul nu et il m’a complimenté sur mes fesses qu’il trouvait très douces.

Valérie a dit qu’ils allaient boire un verre, et ils se sont assis sur le lit. Je suis resté debout, les bras ballants, alors Valérie m’a dit :

«Rends-toi utile, descends nous chercher trois verres et une bouteille.»

Quand je suis revenu avec la boisson et les verres, ils s'embrassaient passionnément en se caressant. Ils savaient que j'étais là, mais ça ne les arrêtait pas, la main de Cédric entre ses cuisses, près de sa culotte. Ils ont arrêté de s'embrasser pour prendre le verre que je leur tendais. Elle lui a dit qu’elle l’aimait. Ils se tenaient enlacés, les yeux dans les yeux, comme des amoureux.

Je l'ai entendue lui dire qu’elle pouvait avoir un amant, son mari l’avait autorisée avant de disparaître, remplacé par sa nouvelle copine. Elle a demandé à Cédric s’il voulait être son amant, et il a accepté.

À force de les regarder s'embrasser et se tripoter, j'étais dur, et comme il n'y aurait pas de billard ce soir, je commençais à être en difficulté. Valérie l’a remarqué et m’a dit ne pas rester comme ça, avec mon gros clitoris tout raide, que je lui faisais honte, et que je devais aller me coucher dans ma chambre de fille. Elle a ajouté :

«Ne t’inquiète pas, je viendrai te border, et je jouerai un peu avec ton gros clitoris, ma chérie. Pour cette nuit, Cédric dormira ici, avec moi, ensuite on verra bien comment on s’arrangera.»

«Mais oui, Camille, Valérie et moi, nous serons amants cette nuit, et tu seras cocu, tu seras notre cocu soumis, notre petite poule mouillée. Mais nous sommes tous les deux très heureux que tu sois notre copine. Ne pleure pas, Camille, Valérie est tellement bonne, elle est trop bonne pour toi, tu ne peux plus la satisfaire avec ton clitoris. Il lui faut un homme, avec une grosse bite, un vrai mâle comme moi !»

Je suis allé dans ma chambre de fille, et je me suis couché pour attendre Valérie. Quand elle est venue m'embrasser, j'ai bien vu qu’elle avait les tétons tout durs, et la culotte tachée. Ses yeux brillaient d’un étrange feu que je ne connaissais pas. J’ai eu une énorme érection qui tendait ma culotte, en la voyant ainsi.

J'ai demandé à Valérie pourquoi elle avait mis tous mes vêtements dans cette chambre, elle m’a dit parce que c'est là que tu vas dormir désormais, ma chérie, c’est ta chambre de fille maintenant, et c'est plus facile d'avoir tes vêtements dans ta propre chambre.

Elle m’a dit que Cédric devait dormir dans la chambre conjugale, parce qu’il était trop grand pour ce petit lit, il ne tiendrait pas dedans. Elle m’a dit qu’ils en avaient discuté à midi, quand ils avaient été faire du shopping ensemble, et que c’était Cédric qui avait choisi toutes ces jolies choses sexy que je devais porter.

J’ai dit à Valérie que je voulais coucher avec elle, elle m’a répondu :

«Ne dis pas n’importe quoi, Camille, tu es une fille maintenant, et je ne suis pas lesbienne. J'ai besoin d'un homme bien monté comme Cédric pour me posséder. Civilement, je suis ta femme, mais pour le sexe et pour que mon corps exulte, j’ai choisi Cédric. Je vais arrêter les contraceptifs, car je veux être enceinte. Et Cédric va arrêter de payer une location pour rien.»

«Allez, Camille, tu dois être raisonnable, maintenant.» Elle s’est assise au bord du lit pour m'embrasser. 

Elle a touché ma bite sous la couette : «Chérie, ton clitoris es tout dur, comme c’est sexy. Tu aimes regarder Cédric m'embrasser et me tripoter, petite cochonne. Oui, ma chérie, c'est un mâle alpha, un étalon reproducteur. Il va m’engrosser et me faire plein de bébés qui galoperont partout dans la maison. Je l'aime vraiment, ma petite Camille, je ne sais pas comment c'est arrivé, mais c'est arrivé.»

Elle a sorti de dessous le lit le rouleau de papier absorbant, elle a remonté ma nuisette, et entouré ma bite de papier pour me masturber. Tout le temps, elle m’a parlé de Cédric, de ce qu’il allait lui faire cette nuit, et de ce qu’elle allait lui donner. Elle m’a excité, et j’ai tiré ma charge bien trop vite. Elle a recueilli du sperme sur ses doigts, et m’a dit de les lécher :

«Maintenant, bébé, lèche mes doigts, chérie. Tu es une fille maintenant, tu dois t'habi à lécher le sperme, et à le recevoir dans ta bouche.»

«Camille … Je n’aurais pas toujours le temps de m’occuper de toi, le soir. Cédric m’a dit qu’il connaissait un garçon gay, un noir, avec qui tu t’entendras très bien, j’en suis sûre. Je l’ai invité à dîner, demain soir. C’est un garçon charmant, tu devras être gentille avec lui, ne pas faire ta farouche. Bien sûr, il a une grosse bite. Mais on s’habitue vite, tu verras ...»

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